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vendredi 3 juin 2011

Déstabilisation de la Côte d'ivoire:Comment la BCEAO Dakar a échoué !!!!



Regardez bien ce fichier ci joint pour comprendre comment dans la tentative d'assèchement du système financier et Bancaire Ivoirien décidée à la hâte la BCEAO DAKAR c-à-d le Siège n'a pas pris assez de précautions à cause de la haine inutile, en deconnectant la BCEAO Côte d'Ivoire de ses trois  principaux sources des Compensations (SICA), et les reglements des transactions de gros montants (RTGS ,STAR UEMOA) et GIM-UEMOA,
Reagardez ce fichier qui reconstitue l'armature de ce système, qui en réalité a été contourné par la BCEAO CI, en ayant recours au vieux système de compensation manuelle, et en se coupant de Dakar ,en implicant le tresor ivoirien pour pallier la défaillance du RTGS (Reel Time Gross Settlement)
Resultat : Dakar risque de gros soucis financiers et met en péril le systeme financier de tout l'UEMOA , car le coeur du systeme qu'est la Côte d'Ivoire s'est isolée du corps (le reste de l'UEMOA), si cela traîne des mois, le spectre d'une dévaluation au niveau des autres pays n'est pas à écarter !!!
DIEU BENISSE LA COTE D'IVOIRE
 

mercredi 2 février 2011

Côte d'ivoire: Crise post-électorale; la BCEAO au coeur de la guerre.


APRES LE RETRAIT DE LA COTE D’IVOIRE DE LA BCEAO


Le reste de l’UEMOA déjà en difficulté sans la Cote d’Ivoire


    L’Uemoa (l’Union économique et monétaire ouest africain), « est en train de s’effondrer », tel a été le cri poussé, hier à Dakar par le président en exercice du Conseil des ministres de la Banque centrale ouest-africaine, José Mario Vaz, ministre bissau-guinéen des Finances. Une situation née des mesures contreproductives pour  toute la sous-région, prises lors du dernier  sommet des chefs d’Etats à Bamako. La rencontre de Dakar, hier, a été l’occasion pour lancer le cri d’alarme d’une économie sous régionale agonisante.

    Les effets des dernières décisions de certains chefs d’Etats membres de l’espace monétaire ouest africain, visant à fragiliser l’économie ivoirienne se font lourdement ressentir dans toute la sous-région. Cela a été clairement exprimé, par le président en exercice du conseil des ministres de cette institution. Le ministre José Mario Vaz s’est exprimé lors de la rencontre d’urgence qui avait pour objectif d’évaluer l’impact de la prise de position de l’UEMOA et qui vient de réunir à cet effet, à Dakar.

On le sait, à leur rencontre de Bamako, les chefs d’Etat et de gouvernement avaient pris la grave décision de permettre aux représentants désignés par le gouvernement  virtuel d’Alassane Dramane Ouattara, retranché au golf hôtel, d’effectuer les mouvements sur les comptes de la Côte d’Ivoire. Mesure  prise en violation des textes de l’union et au mépris de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Laquelle mesure a conduit le burkinabé Jean-Baptiste Compaoré, à diriger la banque centrale en qualité de gouverneur intérimaire, depuis la démission forcée le 22 janvier dernier,  du gouverneur de la banque, l’Ivoirien Philippe-Henry Dacoury-Tabley.

    La réaction des autorités ivoiriennes ne s’est pas fait attendre suite à ces décisions iniques contre le pouvoir d’Abidjan qui refuse se laisser caporaliser par Paris qui entend, toujours contrôler la banque sous régionale. Le président Gbagbo a décidé de réquisitionner l’ensemble du personnel local. Objectif, assurer un fonctionnement correct de la branche ivoirienne de l’institution que les Ivoiriens avaient en partage avec les autres et où ils contribuaient pour plus de 40% du PIB. On l’apprend, les dégâts de l’intrusion de la politique dans la gestion de cette institution sont incalculables pour la sous-région. Et nous n’en sommes qu’au début.

     « L’agence principale de la Banque centrale ouest-africaine à Abidjan ne répond plus aux injonctions et aux instructions du siège de Dakar, depuis  le 26 janvier. La situation est grave. Le personnel de la Banque est, pour sa part, astreint aux obligations de la réquisition.», a constaté, hier mardi, le président en exercice du Conseil des ministres de la banque centrale, lors de son discours d’ouverture du Conseil des ministres extraordinaire de la BCEAO.

    « Ces actes sont sans précédent dans l`histoire de l’Union économique et
monétaire ouest africaine (UEMOA) dont la BCEAO est la banque émettrice
 », soutient le président du conseil des ministres de l’UEMOA, comme si, le geste des Chefs d’Etats aux ordres de Paris étaient plus licites que l’acte de la réquisition du personnel de la banque installée sur le territoire ivoirien, pour éviter l’étranglement économique.

    « En outre, la stabilité du système bancaire et les impacts négatifs de la
crise sur le fonctionnement des économies de l`Union constituent de fortes
préoccupations qui devront être prises en compte
 », poursuit le président de la banque de l’UEMOA. Mais en réalité, cette position s’explique par le fait qu’Abidjan n’approvisionne plus les caisses de la Banque centrale. Cette institution imagine que bientôt, elle pourra se retrouver en situation de cessation de paiement. D’d’où la tenue de cette réunion extraordinaire avec comme unique point à son ordre du jour la situation à Abidjan.

    Par la faute de quelques chefs d’Etats les acquis de l’Union monétaire, vieille
aujourd’hui de cinq décennies et regroupant huit pays que sont la Côte d’Ivoire, le Bénin, Togo, la Guinée-Bissau le Burkina-Faso, Niger, Mali et Sénégal sont menacés. La situation de détresse des autres pays de la sous-région démontre que la Côte d`Ivoire, reste une puissance régionale en dépit de dix ans de crise. Crise qui a même entraîné la délocalisation de certaines entreprises vers d’autres capitales de l’espace UEMOA.

    Malgré cette  situation, la Côte d’Ivoire reste de loin le pays le plus puissant de l’espace. Comme le témoigne, le cri de détresse  des banquiers de la Bceao, depuis Dakar. Si cette crise devait se prolonger, selon plusieurs observateurs et experts en économie, elle risque d’avoir d’importantes répercussions négatives tous les pays membres de l’UEMOA.

lundi 31 janvier 2011

Côte d'Ivoire: Crise Post-électorale

Les hommes de CHOI convoient les rebelles par avion


    Passionnées des troubles en Côte d’Ivoire, les forces onusiennes ne veulent pas laisser un seul moment de répit au Président Laurent Gbagbo. Les hommes en bleu du représentant du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire, M Choi, ont convoyé, vendredi dernier, une trentaine de rebelles, par avion, depuis Bouaké jusqu’à Abidjan. Malheureusement pour eux, ils ont encore été démasqués. En effet, dans la soirée du vendredi 28 janvier dernier, à la base aérienne d’Abidjan, les Forces de Défense et de Sécurité ont mis la main sur deux rebelles de M Ouattara.

     « Nous étions en partance pour le Golf Hôtel… quand nous sommes descendus de l’avion, nous attendions quelqu’un qui devait venir nous chercher en taxi compteur pour l’hôtel Sobroko, la base onusienne. Et de là nous devions mettre le cap sur le Golf Hôtel dans les véhicules de l’ONUCI » a déclaré Abou Sanogo, l’un des rebelles interpellé. Abou Sanogo et son complice affirment que plus d’une trentaine de rebelles armés qui se trouvaient à bord du même avion avaient déjà été convoyés, à bord des véhicules de l’ONUCI, pour venir en renfort soit à l’Hotel du Golfe soit à Abobo.

    Issus de la compagnie « KARAKORO ATCHINGUIE » de Bouna, ces deux éléments sont aux mains des forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire. Ne voulant pas se faire repérer par les mouvements terrestres, l’ONUCI choisit désormais l’option aérienne mettant ainsi en danger la base aérienne d’Abidjan. « Le brave-tchê » et ses suppôts ont encore échoué là.

     Braquage de la BCEAO, attaque des populations, convoyage de rebelles, multiplication des actions de désinformation y compris par le piratage de la radio nationale ivoirienne et par l’installation de radio pirates quand les ondes de la radio ONUCI ne sont pas mises à la disposition des rebelles, voilà autant d’actions que Choi, le parrain attitré de la rébellion, entreprend en vain en vue de déstabiliser le gouvernement Aké N’Gbo, premier ministre de Côte d’Ivoire.

    Le peuple ivoirien, plus que jamais debout, est déterminé, aux côtés de son Président Laurent Gbagbo, à faire échec à l’imposture et au désordre. Young Jin Choi, le patron de l’ONUCI, cité parmi les officiels des Nations Unies qui ne font pas un rapport transparent de la gestion des finances allouées aux opérations de maintien de paix qu’ils dirigent devrait songer à répondre de ses actes au lieu de s’entêter comme s’il avait perdu la raison et de vouloir, coûte que coûte, se mêler des histoires qui ne le regardent pas du tout.

DANSE DES CHASSEURS de TINDARA