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jeudi 30 mai 2013

GBAGBO REVIENT !!!!

 
        Le temps passe, les langues se délient et la vérité apparait petit à petit au grand jour. Personne ou presque ne pensait voire Gbagbo vivant le 11 Mai 211 mais il est toujours là.debout
      Mais pour les analystes les plus avertis les lignes ont commencés à bouger depuis ce jour triste où il est sorti vivant des décombres de sa résidence sous les bombes de l'armée française.
 
       Incarcéré au nord puis transporté en catimini à la Haye Laurent Gbagbo depuis sa comparution pour la confirmation ou l'infirmation des charges contre lui sais qu'une chance lui est donné parce que étant encore vivant pour répondre des accusations à lui porté. Aussi vu la peine qu'a le procureur de la Cpi pour réunir des preuves solides contre sa personne et la politisation de ce procès au plus haut niveau l'on est en mesure de penser à une pure relaxe du prisonnier le plus célèbre de la terre.
         L'actualité de ces derniers jours donne aux plus septiques de savoir que la libération de Gbagbo est plus qu'envisageable. En effet depuis la première visite du Secrétaire Général par intérim Miaka Ouretto certains ont vu dans les questions du journaliste qui l'a interviewé a son retour à paris une éventualité de libération quand celui-ci pose la question à  savoir " s'il a trouvé un Laurant Gbagbo revanchard ?" la question est de savoir comment quelqu'un qui est incarcéré peut-il se venger étant en prison;  étant dans les liens avec toutes la possibilité de retour au pouvoir quasiment nul; si ce n'est la perspective de sortie !
        Aussi la dernière visite du secrétaire du parti de droite de Nicolas Sarkozy où le élections doivent être reprise en septembre prochain; Jean-François Copé à Abidjan aurais eu pour but d’informer les locataires du palais d'Abidjan et leurs alliés de la nécessité d'une candidature unique au sein du RHDP ( rassemblement des houphouétistes) et de préciser par la même occasion le candidat en occurrence Alassane ouattara.ce dernier ne s'est donc pas fait supplié pour annoncer sa candidature pour les élections prochaines alors qu'il peine à trouver un bilan depuis qu'il es à la tête du pays. Ces informations portées à la connaissance de Henry Konan Bédié n'a pas eu de réprobation de la part de celui-ci; mais n'ai pas du goût des autres membre du bureau politique du PDCI . Ceci expliquerais la sortie musclé de KKB responsable des jeunes du Pdci pour dire tout haut ce que pense la majorité des dignitaires de ce parti pour dire que le pdci aura son candidat en 2015. La réaction du RDR ne s'est pas fait attendre; karamoko yayoro responsable des jeunes de ce parti a aussitôt répondu sous une menace voilée comme quoi le pdci n'avait pas à représenter un candidat en 2015 : comme quoi la réponse de la bergère au berger.
       Mais le constat sur le terrain est l'un des plus alarmant; la cherté de la vie et le système de rattrapage mis en place par les maître d'Abidjan dans l'administration publique au niveau de tous les secteurs d'activité fini par convaincre les plus septique que ce pouvoir court à a perte en posant lui-même les fondement de sa chute.
Ainsi qu'il convient de le remarquer les ingredients d'un retour du président  Laurant

gbagbo au bord de la lagune ébrié n'est plus que probable en terre d'Eburnie. Armez vous donc de courage car ce n'est qu'une question de temps
      

mercredi 22 juin 2011

Evénement en Côte d'Ivoire.Histoire d'une arrestation

Il a failli mourir, ciblé par un hélicoptère de Licorne puis battu à coups de crosse par les soldats d’Alassane Ouattara. Mais il a été jusqu’au bout de sa destinée de témoin des chocs de l’Histoire nationale. Il ne regrette rien. De son lieu de rééducation en France, il se souvient…On dit que ce qui échappe à la conscience nous revient sous forme de destin». Dans le «refuge»où il s’est retiré, au coeur de la France profonde, pour panser ses plaies,  Sidiki Bakaba, présent à la Résidence présidentielle de Cocody au moment du kidnapping de  Laurent Gbagbo et de sa suite, soigne son âme à coups d’introspection philosophique.Il en est persuadé : son destin et sa vocation d’artiste engagé l’ont toujours amené à  être le témoin privilégié d’événements importants pour son pays et son continent. Une  fois de plus, il a donc été jeté au coeur de la fournaise ardente. Comme dans d’autres pays africains, au Burkina Faso durant la période «révolutionnaire», ou en Guinée lors de  la première purge du règne de Lansana Conté, en 1985. Comme en novembre 2004, lors du  premier «épisode» de la guerre de la France contre la Côte d’Ivoire. Une page tragique de l’histoire de la Côte d’Ivoire qu’il a «offerte» aux générations futures sous la forme d’un documentaire au nom évocateur : «La Victoire aux Mains Nues».Témoin d’une résistance héroïque«Je n’avais pas forcément l’intention de faire un film sur la crise postélectorale. Contrairement à ce qu’une légende bien orientée prétend, je ne suis pas allé sur le front  avec l’intention de me battre arme au poing. C’est le front qui estvenu vers moi! Ma maison se trouve dans le pourtour présidentiel, à quelques minutes à pied de la Résidence présidentielle.Progressivement,les bruits de guerre se sont rapprochés. Un jour, je me réveille, et je vois devant mon domicile quelques centaines de jeunes combattants loyalistes. Ils m’expliquent qu’Abidjan est divisée, et que seuls les combattants sont dans la rue. Ils se reconnaissent par des noms de code bien spéciaux. Les uns, c’est «ami ami», les autres c’est «miaou miaou».Bref, ils m’expliquent que je ne peux pas sortir seul même pour acheter du pain. Et ils me proposent de m’escorter, de me protéger d’une certaine manière. J’écoute ces jeunes soldats, qui sont mes compagnons par la force des choses. Et il me semble que je retrouve dans leur bouche les mêmes mots que ceux des jeunes qui, les mains nues, ont affronté les chars français en novembre 2004. Sauf que là, ils sont armés. Ils disent qu’ils sont prêts à mourir… Ils répètent : «Nous voulons libérer la Côte d’Ivoire, nous voulons libérer l’Afrique. L’indépendance que vous, nos oncles, avez eue, elle n’est pas réelle. Nous avons la mémoire de 2004. Cette fois, cela ne se pas sera pas comme ça, ils ne nous trouveront pas les mains nues». La phrase «il faut libérer l’Afrique » crée une résonance en moi. Nous l’avions prononcée il y a longtemps, quand j’étais jeune, quand nous commencions à remettre en cause les indépendances dans nos pays. Je suis donc allé voir, sentir, et pourquoi pas témoigner de ce qui apparaissait déjà comme un remake de novembre 2004».Sidiki Bakaba ne pense pas forcément à un documentaire. Mais dans sa tête trotte l’idée d’un film de fiction  reconstituant l’histoire de la Côte d’Ivoire. Il se dit : «Dans ce cas, il me faut du matériau». Et ajoute : «Je ne voulais pas travailler à partir de ce qui a été écrit ou raconté par d’autres, mais vivre cette histoire-là, à l’endroit où je me trouvais». Du côté où il se trouvait aussi, peut-on ajouter. Comme les équipes de la chaîne de télévision franco-allemande Arte ont filmé la descente sanglante des FRCI à Abidjan, lui, il filmait ce qui est très vite apparue comme une résistance «héroïque».Il filme quelques centaines de combattants qui font face aux assauts répétés d’adversaires soutenus logistiquement par l’armée française et par l’ONUCI. Mais qui, systématiquement, battent en retraite, perdent des hommes en masse, s’enfuient en laissant des liasses de faux billets offerts par leurs commanditaires politiques – un mensonge fondamental qui explique sans doute aujourd’hui les actes de sabotage économique et de pillage forcené des FRCI.Sidiki Bakaba, qui ne peut plus dormir chez lui dans ce contexte explosif, filme également le petit monde qui s’est aggloméré autour de Laurent Gbagbo à la Résidence, préparé à partager une destinée tragique. Il voit arriver là les généraux Philippe Mangou (chef d’état-major des Armées) et Edouard Tiapé Kassaraté (patron de la gendarmerie). Des généraux que la rumeur accuse déjà de trahison. Très vite, Laurent Gbagbo les éconduit,
le cameraman de la RTI et lui. «Nous avons à nous dire des choses qui ne se disent pas devant les caméras», explique le chef de l’Etat. Bakaba pressent une atmosphère houleuse…Le bureau de Gbagbo mitraillé alors qu’il s’y trouve. Progressivement, la pression des coalisés se renforce. Un autre témoin présent à la Résidence, dont nous taisons le nom pour des raisons de sécurité évidentes, raconte. «A partir du 7 avril, les attaques des hélicos se sont intensifiées. On était obligés de se réfugier au sous-sol. Le 9 avril, la dégradation s’est accélérée. La bibliothèque de la Résidence a pris feu, contaminée en quelque sorte par des voitures qui se trouvaient dans la cour et qui, bombardées, avaient explosé littéralement». Ce témoin là fait une révélation troublante. «Le vendredi, le bureau du président a été mitraillé au moment où il venait d’y entrer pour travailler un peu, comme si ses ennemis maîtrisaient ses mouvements.» Miraculeusement, Gbagbo s’en sort, et retourne au sous-sol. L’atmosphère est apocalyptique dans ce que les médias occidentaux appellent«le bunker». [Image]Les veillées de prière se succèdent. «On n’espérait qu’en Dieu seul», se souvient ce témoin. Le  Je veux aller y mourir dignement. Là-bas, les médecins commencent à m’inciser avec des rasoirs, sans anesthésie. Ils sortent des éclats d’obus tout noirs de mon corps. C’est atroce. J’ai des moments de perte de connaissance. Et des fois je reprends connaissance. Je dis des choses, je les chante. Je répète que cette indépendance réelle, dont ces jeunes qui sacrifient leurs vies rêvent, deviendra réalité un jour. A titre personnel, je suis persuadé que je vais mourir. Des rideaux brûlent. Les personnes les plus religieuses parmi nous semblent partagées entre transe et peur. Je sens que c’est fini, avec la force des explosions. J’accepte le principe de ma mort. Je me dis que j’ai atteint plus de 60 ans, sur un continent où l’espérance de vie est de moins de 50 ans. Je n’ai ni le  sentiment d’être un héros ni celui d’être un lâche, mais un homme qui meurt dignement».[Image]De

mercredi 15 juin 2011

Côte d'Ivoire : Après la chute du régime : Le FPI à l`épreuve de la cohésion - Mamadou Koulibaly va-t-il créer son parti ?

                    Mamadou Koulibaly, président de l`Assemblée nationale et 3è vice- président du Front populaire ivoirien (Fpi), ancien parti au pouvoir, semble avoir fait sien cet adage. Il tente de remettre à flot le navire frontiste qui a pris l`eau de toutes parts depuis la chute du régime de la Réfondation le 11 avril dernier. Le fait-il bien ? A-t-il la caution de tous ses camarades de parti ? Sa démarche est-elle appréciée du président Laurent Gbagbo, en résidence surveillée à Korhogo depuis sa capture ? Difficile de répondre. Toutefois, Mamadou Koulibaly, seul maître à bord actuellement, après `` l`emprisonnement `` de ses supérieurs hiérarchiques, a décidé de recoller les morceaux après le naufrage. Démarches auprès des nouvelles autorités, déclarations de reconnaissance du nouveau pouvoir, double réunions du comité central, refus de siéger au gouvernement de Ouattara, tout y passe pour signer le come-back du Fpi. Passe encore cette débauche d’énergie, même si au sein de la famille des socialistes, certains n`apprécient pas les démarches de Mamadou Koulibaly. Ces derniers trouvent que le député de Koumassi met la charrue avant les boeufs. Ils voudraient qu`il mette un point d`honneur à la libération « du grand patron » Laurent Gbagbo, de son épouse Simone, et des autres `` camarades `` emprisonnés dans des localités du pays, ou en exil à l`extérieur. Pour Koulibaly par contre, le Fpi doit vivre après Laurent Gbagbo. « La libération de Gbagbo n`est pas une priorité », avait-il lâché au cours d`un entretien. Le très libre tenant du perchoir ne s`arrête pas là. Il critique ouvertement la politique menée par le Fpi depuis la prise du pouvoir, il dénonce les abus de certains cadres du parti, et s`attaque parfois à la personne de Laurent Gbagbo. Sa récente interview dans le journal « Jeune Afrique » de la semaine dernière, a été diversement interprétée dans les milieux de La Majorité Présidentielle (Lmp). Elle est jugée trop osée par certains, quand d`autres trouvent que « c`est du Mamadou Koulibaly tout craché. Il est resté égal à lui-même ». Morceaux choisis: « Nous avons réalisé une très mauvaise campagne électorale, mal organisée. Il n`y avait pas de stratégie, pas de discours cohérent, et trop de personnes étaient en première ligne, avec des moyens colossaux mais mal utilisés. Certains cadres n`ont pas travaillé; ils ont détourné de l`argent pour acheter notamment des véhicules », « Lorsque nous étions dans l`opposition, on faisait mieux (…) On rêvait d`une nouvelle Côte d`Ivoire (…) On disait qu`on voulait ouvrir le marché ivoirien au monde entier mais, dans les faits, on a fait des deals avec les plus grosses entreprises françaises. Alassane Ouattara a proposé une vision plus cohérente ». De Laurent Gbagbo, il dira ceci : « Il est toujours resté maître de ses actes.

Mais tous, les militants, les cadres, se demandent pourquoi il s`est à ce point entêté, à la limite de l`irrationnel (...) Cinq ans plus tard, il avait toutes ses chances pour redevenir président ». Ces propos de Mamadou Koulibaly ont ouvert une vague de mécontentements dans le camp Gbagbo. La grogne serait plus forte du côté des militants du Fpi et de La Majorité Présidentielle qui se sont exilés du côté du Ghana ou qui se trouvent en France.

Un bloc d`anti-Koulibaly se forme

Ces militants, très remontés contre le président de l’Assemblée nationale, l`accusent de vouloir « sacrifier » Laurent Gbagbo sur l’autel de ses ambitions personnelles. Ils crient à la trahison de la part de celui-ci. Ces anti-Koulibaly se disent convaincus que l`ancien chef de l`Etat et les autres prisonniers du 11 avril dernier n`approuvent pas les critiques formulées par le natif d`Azaguié. D`autres, plus indulgents, estiment que la forme choisie (les journaux ndlr) n`est pas la mieux indiquée pendant cette traversée du désert du Fpi. « Il est libre de faire des critiques, de dénoncer mais pas dans les journaux, et pas au moment où les camarades sont en prison. Les débats ne sont pas interdits au Fpi, mais nous avons des tribunes pour le faire », s`indigne un haut membre du parti frontiste. A la réunion du Secrétariat général de l`ancien parti au pouvoir, tenu le jeudi 09 juin dernier, des sources bien introduites soulignent que Mamadou Koulibaly a été appelé à s`expliquer sur ses sorties jugées « intempestives ». Par ailleurs, à en croire des proches du président de l`Assemblée nationale, « il a reçu beaucoup d`appels de protestation. Certains ne comprennent pas ce qu`il fait, d`autres pensent qu`il veut profiter de la situation pour se positionner comme le nouveau leader du Fpi ». Il ne fait en effet aucun doute que le violent et brutal changement intervenu à la tête de l`Etat, a complètement désagrégé le parti des refondateurs, et ouvert la guerre de leadership qui était encore latente au Fpi. Mamadou Koulibaly, selon des proches, n`entend pas se laisser faire. A ses détracteurs, le président intérimaire du parti des socialistes donne des coups et compte rester sur cette lancée. « Nous avons perdu, sortez de vos cachettes », avait-il répondu dans une interview accordée à Onuci Fm, faisant allusion aux cadres du Fpi ou de Lmp qui sont tapis dans l`ombre et qui tentent de saboter ses actions. Mieux, le député de Koumassi se convainc, jusqu`à preuve du contraire, que l`ancien chef de l`Etat Laurent Gbagbo approuve ses critiques et est d`avis avec lui que le train de la réfondation a déraillé par leur propre faute. Mamadou Koulibaly veut le remettre sur les rails, mais à partir des valeurs qui ont guidé leurs pas jusqu`à la prise du pouvoir en 2000.

« La priorité, c`est de refaire du Fpi un grand parti d`opposition. Cela veut dire qu`il faut dresser un bilan en profondeur, prendre des dispositions institutionnelles, remobiliser les militants et donner des signaux forts aux Ivoiriens, en modifiant complètement notre discours et nos méthodes (…) Ensuite, on pourra peut-être penser à organiser un grand congrès du parti », projette le 3è vice-président du Fpi. On devrait comprendre qu`un nouveau Fpi, préparé à la sauce Koulibaly, est au feu. Ce projet va-t-il emporter l`adhésion de toute la famille frontiste? Tente-t-il malicieusement et volontairement de se mettre à dos l’appareil du parti pour se chercher une porte de sortie ? En clair, Mamadou Koulibaly va-t-il créer son parti s’il a le net sentiment de prêcher dans le désert auprès de sa propre famille ? L`avenir nous situera.

jeudi 3 mars 2011

CRISE IVOIRIENNE :IMMIXTION DE LA FRANCE DANS LA CRISE IVOIRIENNE

La crise en Côte d'Ivoire, qui est une affaire intérieure à ce pays, a montré une nouvelle fois que certains Etats africains ne semblent pas, aux yeux, des anciennes puissances coloniales, avoir acquis leur indépendance.

Dans une telle crise, la sagesse des nations commande que les Nations unies, en tête, déploient des efforts de médiation entre les deux camps opposés, pour aboutir à une solution qui éviterait de déboucher d'un moment à l'autre, sur une guerre civile dont les effets seront désastreux pour le peuple ivoirien.

L'Union africaine est également tout désignée pour jouer ce rôle de médiateur pour parvenir au même objectif. Il en est de même de l'organisation économique Cedeao, dont la Côte d'Ivoire est un membre important. A la rigueur, l'Union européenne, en tant que regroupement régional qui a des intérêts dans ce pays et dans la région, pourrait s'y prononcer et joindre ses efforts à un règlement qui éviterait toujours le pire pour le peuple ivoirien.

Les Nations unies n'ont rien fait dans le sens de ce règlement et, sous la pression de certaines puissances membres permanents du Conseil de sécurité, elles ont pris position pour une partie au détriment de l'autre.

Les Nations unies, on le sait, ont avalisé le score électoral dans ce pays, proclamant le candidat Ouattara, vainqueur du scrutin présidentiel, un résultat contesté par son rival et néanmoins président de fait de la Côte d'Ivoire. Cet aval de l'Onu, soufflé par la France, qui ne porte pas dans son cœur Laurent Gbagbo pour avoir remis en cause ses intérêts locaux, est utilisé comme verdict sans appel donnant lieu à des sanctions contre Gbagbo.

Les sanctions de l’UE
D'abord, c'est l'Union européenne sous influence de Paris, qui décrète des sanctions contre le président sortant, sa famille et son clan. Ces derniers sont ainsi interdits de visa d'entrée dans les pays européens. Ensuite, ce sont les Etats-Unis qui suivent en décidant des mêmes mesures. Pour l'heure, cette sanction «symbolique» n'aura pas de conséquences sur la vie de la population ivoirienne.

Il est par conséquent clair, que cette interdiction de visa va être suivie d'autres sanctions plus lourdes, celles qui touchent directement l'économie de ce pays pauvre malgré ses richesses.

Alors que les dirigeants étrangers faisaient preuve de réserves à l'égard de la crise, se contentant de rappeler la «position officielle» des Nations unies, le président français, Nicolas Sarkozy, qui continue de croire que les anciennes colonies françaises en Afrique sont toujours des colonies, a sommé le président Gbagbo de quitter le pouvoir comme s'il parlait à l'un de ses subordonnés.

L’ordre de Sarkozy
Le locataire de l'Elysée a saisi récemment l'opportunité d'une réunion européenne à Bruxelles, pour «ordonner» devant les médias de son pays à son homologue ivoirien, de «quitter le pouvoir d'ici la fin de la semaine». Du reste, sa sortie menaçante a été critiquée par ses proches comme par les diplomates africains à Paris.

«Sarkozy méconnaît la politique africaine. Il voulait profiter de l'attitude américaine, mais il s'est cassé la figure», indiquait aux médias français une source diplomatique africaine basée à Paris, pour qui «depuis le départ de Jacques Chirac, beaucoup de choses ont changé dans la législation française».

Ce que le locataire de l'Elysée, en amateur de la diplomatie, n'a pas encore compris. Du reste, cette menace est perçue comme un cou d'épée dans l'eau, puisque «aucune décision engageant l'Etat français ne peut être exécutée en dehors du parlement», selon cette source, qui précisait que Sarkozy «ne peut pas faire comme son prédécesseur qui a géré la crise ivoirienne en faisant fi du peuple français et de ses institutions».

Des fins inavouées !
Non remis à sa place après cette bourde, Sarkozy a tenu hier, avant le Conseil des ministres, «une réunion sur la situation en Côte d'Ivoire», regroupant son Premier ministre François Fillon, le chef de la diplomatie française, Michèle Alliot-Marie ainsi que son ministre de la défense, Alain Juppé.

Il est clair que cette réunion n'est pas convoquée uniquement pour examiner comment protéger les 15 000 ressortissants français vivant en Côte d'Ivoire, en cas d'aggravation de la situation dans ce pays. la veille, Gbagbo a appelé au calme, affirmant ne plus vouloir que le sang soit versé dans son pays. Il a également suggéré la mise en place d'un «comité d'évaluation international pour sortir de la crise», tout en réaffirmant être le vainqueur du scrutin. Au même moment, son rival, Alassane Ouarttara, appelle ses troupes à la désobéissance. civile, avec tous les risques que cet appel pourrait créer.

Comme on le voit, la crise est sans issue tant les deux parties tiennent à leur position. cela rappelle la crise au Zimbabwe, lorsque le président Robert Mugabe a été donné vaincu par les occidentaux, qui avaient soutenu son rival. Mugabe est toujours sous l'effet de sanctions, mais il est encore à sa place. En côte d'Ivoire, la France dispose de troupes militaires qui n'ont rien à faire dans ce pays. Comme du reste,

dans d'autres Etats de la région, dont la mission est de protéger les grands intérêts des entreprises françaises qui pillent les ressources des peuples du continent, avec souvent la bénédiction des dirigeants locaux. Or, le changement d'attitude de Paris envers Gbagbo est motivé par le désir de ce dernier, de mettre fin à la présence française dans son pays. Alors, peu importe pour Paris que la crise ivoirienne débouche sur un massacre des populations ivoiriennes. Pourvu que ses intérêts soient sauvegardés.

jeudi 10 février 2011

Côte d'Ivoire: Vers une indépendance économique.


RENTREE BUDGETAIRE 2011


La Côte d’Ivoire pose les jalons d’une Révolution Economique




Le Président Laurent Gbagbo et les membres de son gouvernement

     2011, année de tous les grands défis pour Côte d’Ivoire, parce que post-électorale. L’Etat Ivoirien a fait  sa rentrée budgétaire, hier au Plateau, centre des affaires et économique de la Côte d’Ivoire. Un acte posé dans une situation particulièrement exceptionnelle, qui rappelle les évènements de la veille de l’indépendance politique. Un acte confirmant la marche vers l’indépendance totale.  « C’est un message fort au monde entier pour expliquer  que la Côte d’Ivoire reste debout  et fort», a déclaré le  ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des  Finances chargé du Budget, Justin Koné Katinan.

     L’équipe du président Laurent Gbagbo ne finira pas de surprendre. En pleine crise socioéconomique dominée par une guerre de contrôle des ressources financières du pays et  une campagne assourdissante de la  communauté internationale qui tente de fragiliser l’économie, le gouvernement a décidé de la mise en œuvre d’un budget s’élevant à 2.907, 5 milliards de francs Cfa. Un budget en hausse de plus de 4% comparativement au précédant. « Nous avons pris fonction dans des conditions exceptionnelles qui nous ont amené à travailler de façon exceptionnelle », a lancé le ministre du budget Koné Katinan avec aisance et assurance malgré les attaques et sabotages des actions du gouvernement. La dernière en date restant l’incendie d’une direction des Impôts du ministère de l’Economie et des finances, la veille de cette rentrée budgétaire. 

 
     «Le plus dur est derrière nous. N’ayons crainte», souligne le ministre Koné Katinan en présence des représentants de toutes les directions générales des régies financières. La direction générale du trésor et de la comptabilité avec Mme Simone Djédjé Mama, la direction générale des impôts avec Lambert Késsé Feh et la  direction générale des douanes, Alphonse Mangly, toutes ont répondu présentes à ce rendez-vous de défis national pour la résistance économique de la locomotive de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine en guerre contre la communauté internationale pour son indépendance.

     « Nous n’attendons rien de l’extérieur. Mais, nous respecterons les engagements vis-à-vis de nos partenaires extérieurs pour  dire que nous sommes toujours dans la communauté internationale. Il est dit de la Côte d’Ivoire qu’elle est un pays pauvre très endetté, PPTE, mais  je dis,  que le monde entier doit retenir que la Côte d’Ivoire est un pays Pauvre Très Ambitieux PPTA. Du Président Laurent Gbagbo, au Premier ministre N’gbo Aké, tout le gouvernement de la Côte d’Ivoire partage cette  foi en des lendemains meilleurs et dans  le budget 2011 », indique le ministre du budget pour qui cette rentrée budgétaire reste un  signal fort adressé aux Ivoiriens pour qu’ils  gardent l’espérance d’une vie meilleure.

     «Nous faisons une rentrée budgétaire exceptionnelle au moment où des interrogations surviennent de toutes parts et envahissent les Ivoiriens.  Il nous fallait rassurer nos compatriotes. Il s’agit pour le gouvernement de donner au monde entier un signal clair. Qu’il sache que dans la tourmente, la Côte d’Ivoire est un pays qui reste debout. Il faut faire en sorte  que  les Ivoiriens ne se laissent pas submerger par les soucis. La Côte d’Ivoire est certes  en difficulté, mais,  nous avons des armes, c’est notre  travail et notre  courage », affirme le ministre Koné Katinan. Cette rentrée budgétaire aura permis aux différentes directions générales des régies de l’Etat de donner le gage d’un soutien à l’Etat malgré la conjoncture économique.

     Le budget, instrument non seulement de la  politique économique représente aussi une contrainte de gestion dans la mesure où il indique les limites des moyens  et les possibilités d’exécution. La loyauté de toutes les instances intervenant dans sa mise en exécution est alors recommandée. « Il faut des femmes et des hommes d’abnégation et hors normes de ténacité doublés d’un humanisme », a dit le ministre  du budget. Il annonce des mesures de contrôle pour la promotion de la bonne gouvernance. Entre autres, l’énoncé claire de  la liste de bénéficiaires des marchés publics, mais aussi la transmission d’un rapport trimestriel des différentes directions générales des régies financières au plus tard le 15 du mois suivant la  fin du trimestre pour publication.

     Un appel a été lancé  aux jeunes à s’impliquer et répondre aux appels d’offres pour la création des emplois. « Nous ferons une dérogation dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et l’entreprenariat. Rien ne pourra arrêter la  Côte d’Ivoire dans son avancée sur la route de son indépendance totale», martèle le ministre Koné Katinan. La Côte d’Ivoire contre vents et marées, a décidé de lutter pour son autodétermination, et les signaux continuent d’être envoyés à la communauté internationale.

mercredi 2 février 2011

Côte d'ivoire: Crise post-électorale; la BCEAO au coeur de la guerre.


APRES LE RETRAIT DE LA COTE D’IVOIRE DE LA BCEAO


Le reste de l’UEMOA déjà en difficulté sans la Cote d’Ivoire


    L’Uemoa (l’Union économique et monétaire ouest africain), « est en train de s’effondrer », tel a été le cri poussé, hier à Dakar par le président en exercice du Conseil des ministres de la Banque centrale ouest-africaine, José Mario Vaz, ministre bissau-guinéen des Finances. Une situation née des mesures contreproductives pour  toute la sous-région, prises lors du dernier  sommet des chefs d’Etats à Bamako. La rencontre de Dakar, hier, a été l’occasion pour lancer le cri d’alarme d’une économie sous régionale agonisante.

    Les effets des dernières décisions de certains chefs d’Etats membres de l’espace monétaire ouest africain, visant à fragiliser l’économie ivoirienne se font lourdement ressentir dans toute la sous-région. Cela a été clairement exprimé, par le président en exercice du conseil des ministres de cette institution. Le ministre José Mario Vaz s’est exprimé lors de la rencontre d’urgence qui avait pour objectif d’évaluer l’impact de la prise de position de l’UEMOA et qui vient de réunir à cet effet, à Dakar.

On le sait, à leur rencontre de Bamako, les chefs d’Etat et de gouvernement avaient pris la grave décision de permettre aux représentants désignés par le gouvernement  virtuel d’Alassane Dramane Ouattara, retranché au golf hôtel, d’effectuer les mouvements sur les comptes de la Côte d’Ivoire. Mesure  prise en violation des textes de l’union et au mépris de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Laquelle mesure a conduit le burkinabé Jean-Baptiste Compaoré, à diriger la banque centrale en qualité de gouverneur intérimaire, depuis la démission forcée le 22 janvier dernier,  du gouverneur de la banque, l’Ivoirien Philippe-Henry Dacoury-Tabley.

    La réaction des autorités ivoiriennes ne s’est pas fait attendre suite à ces décisions iniques contre le pouvoir d’Abidjan qui refuse se laisser caporaliser par Paris qui entend, toujours contrôler la banque sous régionale. Le président Gbagbo a décidé de réquisitionner l’ensemble du personnel local. Objectif, assurer un fonctionnement correct de la branche ivoirienne de l’institution que les Ivoiriens avaient en partage avec les autres et où ils contribuaient pour plus de 40% du PIB. On l’apprend, les dégâts de l’intrusion de la politique dans la gestion de cette institution sont incalculables pour la sous-région. Et nous n’en sommes qu’au début.

     « L’agence principale de la Banque centrale ouest-africaine à Abidjan ne répond plus aux injonctions et aux instructions du siège de Dakar, depuis  le 26 janvier. La situation est grave. Le personnel de la Banque est, pour sa part, astreint aux obligations de la réquisition.», a constaté, hier mardi, le président en exercice du Conseil des ministres de la banque centrale, lors de son discours d’ouverture du Conseil des ministres extraordinaire de la BCEAO.

    « Ces actes sont sans précédent dans l`histoire de l’Union économique et
monétaire ouest africaine (UEMOA) dont la BCEAO est la banque émettrice
 », soutient le président du conseil des ministres de l’UEMOA, comme si, le geste des Chefs d’Etats aux ordres de Paris étaient plus licites que l’acte de la réquisition du personnel de la banque installée sur le territoire ivoirien, pour éviter l’étranglement économique.

    « En outre, la stabilité du système bancaire et les impacts négatifs de la
crise sur le fonctionnement des économies de l`Union constituent de fortes
préoccupations qui devront être prises en compte
 », poursuit le président de la banque de l’UEMOA. Mais en réalité, cette position s’explique par le fait qu’Abidjan n’approvisionne plus les caisses de la Banque centrale. Cette institution imagine que bientôt, elle pourra se retrouver en situation de cessation de paiement. D’d’où la tenue de cette réunion extraordinaire avec comme unique point à son ordre du jour la situation à Abidjan.

    Par la faute de quelques chefs d’Etats les acquis de l’Union monétaire, vieille
aujourd’hui de cinq décennies et regroupant huit pays que sont la Côte d’Ivoire, le Bénin, Togo, la Guinée-Bissau le Burkina-Faso, Niger, Mali et Sénégal sont menacés. La situation de détresse des autres pays de la sous-région démontre que la Côte d`Ivoire, reste une puissance régionale en dépit de dix ans de crise. Crise qui a même entraîné la délocalisation de certaines entreprises vers d’autres capitales de l’espace UEMOA.

    Malgré cette  situation, la Côte d’Ivoire reste de loin le pays le plus puissant de l’espace. Comme le témoigne, le cri de détresse  des banquiers de la Bceao, depuis Dakar. Si cette crise devait se prolonger, selon plusieurs observateurs et experts en économie, elle risque d’avoir d’importantes répercussions négatives tous les pays membres de l’UEMOA.

lundi 31 janvier 2011

Côte d'Ivoire: Crise Post-électorale

Les hommes de CHOI convoient les rebelles par avion


    Passionnées des troubles en Côte d’Ivoire, les forces onusiennes ne veulent pas laisser un seul moment de répit au Président Laurent Gbagbo. Les hommes en bleu du représentant du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire, M Choi, ont convoyé, vendredi dernier, une trentaine de rebelles, par avion, depuis Bouaké jusqu’à Abidjan. Malheureusement pour eux, ils ont encore été démasqués. En effet, dans la soirée du vendredi 28 janvier dernier, à la base aérienne d’Abidjan, les Forces de Défense et de Sécurité ont mis la main sur deux rebelles de M Ouattara.

     « Nous étions en partance pour le Golf Hôtel… quand nous sommes descendus de l’avion, nous attendions quelqu’un qui devait venir nous chercher en taxi compteur pour l’hôtel Sobroko, la base onusienne. Et de là nous devions mettre le cap sur le Golf Hôtel dans les véhicules de l’ONUCI » a déclaré Abou Sanogo, l’un des rebelles interpellé. Abou Sanogo et son complice affirment que plus d’une trentaine de rebelles armés qui se trouvaient à bord du même avion avaient déjà été convoyés, à bord des véhicules de l’ONUCI, pour venir en renfort soit à l’Hotel du Golfe soit à Abobo.

    Issus de la compagnie « KARAKORO ATCHINGUIE » de Bouna, ces deux éléments sont aux mains des forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire. Ne voulant pas se faire repérer par les mouvements terrestres, l’ONUCI choisit désormais l’option aérienne mettant ainsi en danger la base aérienne d’Abidjan. « Le brave-tchê » et ses suppôts ont encore échoué là.

     Braquage de la BCEAO, attaque des populations, convoyage de rebelles, multiplication des actions de désinformation y compris par le piratage de la radio nationale ivoirienne et par l’installation de radio pirates quand les ondes de la radio ONUCI ne sont pas mises à la disposition des rebelles, voilà autant d’actions que Choi, le parrain attitré de la rébellion, entreprend en vain en vue de déstabiliser le gouvernement Aké N’Gbo, premier ministre de Côte d’Ivoire.

    Le peuple ivoirien, plus que jamais debout, est déterminé, aux côtés de son Président Laurent Gbagbo, à faire échec à l’imposture et au désordre. Young Jin Choi, le patron de l’ONUCI, cité parmi les officiels des Nations Unies qui ne font pas un rapport transparent de la gestion des finances allouées aux opérations de maintien de paix qu’ils dirigent devrait songer à répondre de ses actes au lieu de s’entêter comme s’il avait perdu la raison et de vouloir, coûte que coûte, se mêler des histoires qui ne le regardent pas du tout.

mardi 25 janvier 2011

CÔTE d'IVOIRE :crise post-électorale/ La reaction Tardive et inopportune de l'UE

          Depuis plus de deux mois que les élections du second tour se sont achevé en Côte d'ivoire avec l'observation aveugle des observateurs de l'UE (Union Européenne) qui n'ont pas pu voire les irrégularités constatées dans les zones CNO ( centre, nord ,ouest) qui ont occasionnées des morts, restée muette jusqu'alors comme à donner des la voix.
          En effet des voix commencent  en Afrique a donner un autre son discordant que celui des occidentaux et l' ONU ont donné à entendre depuis la fin du deuxième tour. il a valu attendre la sortie du président Youri Moussoveli et de Jacob Zuma de l'Afrique du sud en faveur de la vérification des des résultats, que le chef des observateurs de l'UE resté muet après leur tournée touristique pendant les élections donne son point de vu quant à la clarité des résultats qui donnent Ouattara vainqueur .
   Vu le temps tardif et la coïncidence de sa sortie après les remarques de ses deux présidents Africains l'on pourrais se demander : Que veut-on nous cacher ? ou encore  que cache-t-on au monde ? Alors que l'idée vient du président Gbagbo personne n'a répondu; Mais ces sorties à la veille d'un sommet africain sur la Côte d'ivoire  par ces deux chefs d'états semble troubler le sommeil de certaines personnes en occident. Car cette vérification si elle est effective risque de mettre à nu les tares et les fraudes massives que la communauté internationale a jusque là couvert par une reconnaissance systématique de Allassane comme président alors que le processus était en cours.
         L'histoire nous dira qui de Gbagbo ou d'Allassane a réellement gagné. Mais pour l'heure malgré les grands coups de main de Sarkozy et de l'Onu Gbagbo reste au pouvoir avec le soutient de son peuple.
     Le problème est surtout les morts unitiles qui endeuillent chaque jour la côte d'ivoire.Que la communauté dite Internationale se ressaisissent et dise une fois la vérité. Car le vrai problème dans cette cacophonie est une bataille de libération entre la Côte d'ivoire et son colonisateur  la France qui refuse la confrontation directe et se cache derrière les façades des organisations internationales et africaines.
Que Dieu bénisse la côte d'ivoire!!!!!!!!!!

mercredi 19 janvier 2011

Côte d'Ivoire:LISTE DES PERSONNALITES SOUS SANCTION par l’Union Européenne.

Côte d’Ivoire – La Liste des personnalités et entités sanctionnées par l’Union Européenne.

Liste des personnes physiques et morales, des entités ou des organismes non désignés par le Conseil de sécurité
des Nations unies ou le comité des sanctions visés aux articles 2, 4 et 7
A. Personnes physiques

Nom (et alias éventuels) Informations d’identification Motifs
1. M. Pascal Affi N’Guessan Né le 1 janvier 1953, à Bouadikro; numéro de passeport: PD-AE 09DD00013. Président du Front Populaire Ivoirien (FPI): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; incitation publique à la haine et à la violence.
2. Lieutenant-Colonel Nathanaël Ahouman Brouha Né le 6 juin 1960. Commandant du Groupement de Sécurité de la Présidence de la République (GSPR). Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
3. M. Aké N’Gbo Gilbert Marie Né le 8 octobre 1955 à Abidjan Numéro de passeport: 08 AA 61107 (expiration 2 avril 2014) Prétendument Premier Ministre et Ministre du Plan et du Développement: Participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
4. M. Pierre Israël Amessan Brou Directeur Général de la Radio Télévision Ivoirienne (RTI): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.
5. M. Frank Anderson Kouassi Président du Conseil National de la Communication Audiovisuelle (CNCA): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
6. Mme Nadiani Bamba Née le 13 juin 1974 à Abidjan Numéro de passeport: PD – AE 061 FP 04 Directrice du groupe Cyclone éditeur du journal “Le temps”: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.
7. M. Kadet Bertin Né vers 1957 à Mama. Conseiller sécurité de M. Gbagbo: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu. Instigateur des mouvements de répression et d’intimidation.
8. Général Dogbo Blé Né le 2 février 1959 à Daloa. Chef de corps de la Garde républicaine Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
9. M. Bohoun Bouabré Paul Antoine Né le 9 février 1957, à Issia Numéro de passeport: PD AE 015 FO 02 Ancien Ministre d’Etat, haut responsable du FPI: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle.
10. Sous-préfet Oulaï Delefosse Né le 28 octobre 1968 Responsable de l’Union patriotique de résistance du Grand Ouest (UPRGO): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par le non désarmement et le refus de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
11. Amiral Vagba Faussignau Né le 31 décembre 1954 à Bobia. Commandant la Marine Ivoirienne – Sous chef d’État-major: Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
12. Pasteur Gammi Chef du Mouvement Ivoirien pour la Libération de l’Ouest (MILOCI): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par le non désarmement et le refus de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
13. M. Laurent Gbagbo Né le 31 mai 1945 à Gagnoa Prétendument Président de la République: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle.
14. Mme Simone Gbagbo Née le 20 juin 1949 à Moossou Présidente du groupe Front Populaire Ivoirien (FPI) à l’Assemblée Nationale: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; incitation publique à la haine et à la violence.
15. Général Guiai Bi Poin Né le 31 décembre 1954 à Gounela. Chef du CECOS (Centre de Commandement des Opérations de Sécurité): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
16. M. Denis Maho Glofiei Né dans le Val de Marne Responsable du Font de Libération du Grand Ouest (FLGO): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par le non désarmement et le refus de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu. Nom (et alias éventuels) Informations d’identification Motifs
17. Capitaine Anselme Séka Yapo Né le 2 mai 1973 à Adzopé Garde du corps de Mme Gbagbo: Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
18 M. Désiré Tagro Numéro de passeport: PD – AE 065FH08. Secrétaire Général de la prétendue “présidence” de M. Gbagbo: Participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo, refus du résultat de l’élection présidentielle. Impliqué dans les répressions violentes des mouvements populaires de février, novembre et décembre 2010.
19. M. Yao N’Dré Né le 29 décembre 1956. Président du Conseil Constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
20. M. Yanon Yapo Prétendument Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
21. M. Dogou Alain Né le 16 juillet 1964 à Aboisso Numéro de passeport: PD-AE/053FR05 (date d’expiration 27 mai 2011) Prétendument Ministre de la Défense et du service civique: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
22. M. Emile Guiriéoulou Né le 1 er janvier 1949 à Guiglo Numéro de passeport: PD-AE/008GO03 (date d’expiration 14 mars 2013) Prétendument Ministre de l’Intérieur: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
23. M. Charles Désiré Noël Laurent Dallo Né le 23 décembre 1955 à Gagnoa Numéro de passeport: 08AA19843 (date d’expiration 13 octobre 2013) Prétendument Ministre de l’Economie et des Finances: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
24. M. Augustin Kouadio Komoé Né le 19 septembre 1961 à Koko­mian Numéro de passeport: PD-AE/010GO03 (date d’expiration 14 mars 2013) Prétendument Ministre des Mines et de l’énergie: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
25. Mme Christine Adjobi Nebout ( alias Aya Christine Rosalie Adjobi née Nebout) Née le 24 juillet 1949 à Grand Bassam Numéro de passeport: PD-AE/017FY12 (date d’expiration 14 décembre 2011) Prétendument Ministre de la Santé et de la lutte contre le SIDA: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
26. M. Yapo Atsé Benjamin Né le 1 er janvier 1951 à Akoupé Numéro de passeports: PD-AE/089GO04 (date d’expiration 1 er avril 2013); PS-AE/057AN06 Prétendument Ministre de la Construction et de l’Urbanisme: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
27. M. Coulibaly Issa Malick Né le19 août 1953 à Korhogo Numéro de passeport: PD-AE/058GB05 (date d’expiration 10 mai 2012) Prétendument Ministre de l’Agriculture: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
28. M. Ahoua Don Mello Né le 23 juin 1958 à Bongouanou Numéro de passeport: PD-AE/044GN02 (date d’expiration 23 février 2013) Prétendument Ministre de l’Equipement et de l’Assainissement, Porte-parole du gouvernement: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
29. M. N’Goua Abi Blaise Prétendument Ministre des Transports: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
30. Mme Anne Jacqueline Lohouès Oble Née le 7 novembre 1950 à Dabou Numéro de passeport: PD-AE/050GU08 (date d’expiration 4 août 2013) Prétendument Ministre de l’Education nationale: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
31. Mme Angèle Gnonsoa (alias Zon Sahon) Née le 1 er janvier 1940 à Taï Numéro de passeport: PD-AE/040ER05 (date d’expiration 28 mai 2012) Prétendument Ministre de l’Enseignement technique: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
32. M. Koffi Koffi Lazare Prétendument Ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
33. Mme Elisabeth Badjo Djékouri Epouse Dagbo Jeannie Né le 24 décembre 1971 à Lakota Numéro de passeports: 08AA15517 (date d’expiration 25 novembre 2013); PS-AE/040HD12 (date d’expiration 1 er décembre 2011) Prétendument Ministre de la Fonction publique: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo.
34. M. Charles Blé Goudé Né le1 er janvier 1972 à Kpoh Ancien passeport: DD-AE/088OH12 Prétendument Ministre de la Jeunesse, de la Formation professionnelle et de l’emploi, Président du Congrès Panafricain des Jeunes et des Patriotes (COJEP): Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo. Pour mémoire: fait déjà l’objet de sanctions depuis 2005 par le Conseil de Sécurité des Nations Unies
35. M. Philippe Attey Né le 10 octobre 1951 à Agboville Ancien passeport AE/32AH06 Prétendument Ministre de l’Industrie et du Développement du Secteur privé: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
36. Mme Danièle Boni Claverie (ressortissante française et ivoirienne) Prétendument Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
37. M. Ettien Amoikon Prétendument Ministre des Techniques de l’Information et de la Communication: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
38. M. Ouattara Gnonzié Prétendument Ministre de la Communication: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
39. M. Alphonse Voho Sahi Né le 15 juin 1958 à Gueyede Numéro de passeport: PD-AE/066FP04 (date d’expiration 1 er avril 2011) Prétendument Ministre de la Culture: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
40. M. Kata Kéké (alias Keke Joseph Kata) Né le 1 er janvier 1951 à Daloa Numéro de passeport: PD-AE/086FO02 (date d’expiration 27 février 2011) Prétendument Ministre de la Recherche scientifique: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
41. M. Franck Guéi Né le 20 février 1967 à Numéro de passeport: PD-AE/082GL12 (date d’expiration 22 décembre 2012) Prétendument Ministre des Sports: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
42. M. Touré Amara Prétendument Ministre du Commerce: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
43. M. Kouamé Sécré Richard Prétendument Ministre du Tourisme et de l’Artisanat: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
44. Mme Anne Gnahouret Tatret Prétendument Ministre de la Solidarité, Reconstruction et Cohésion sociale: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
45. M. Nyamien Messou Né le 20 juin 1954 à Bongouanou Ancien passeport PD-AE/056FE05 (date d’expiration 29 mai 2010) Prétendument Ministre du Travail: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
46. M. Koné Katina Justin Prétendument Ministre délégué au Budget: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
47. M. N’Guessan Yao Thomas Prétendument Ministre délégué auprès du ministre de l’Education nationale chargé de l’Enseignement supérieur: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
48. Mme Lago Daléba Loan Odette Née le 1 er janvier 1955 à Floleu Numéro de passeport: 08AA68945 (date d’expiration 29 avril 2014) Prétendument Secrétaire d’Etat chargé de la vie scolaire et estudiantine: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
49. M. Georges Armand Alexis Ouégnin Né le 27 août 1953 à Bouaké Numéro de passeport: 08AA59267 (date d’expiration 24 mars 2014) Prétendument Secrétaire d’Etat chargé de l’Assurance maladie Universelle: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
50. M. Dogo Djéréké Raphaël Prétendument Secrétaire d’Etat chargé des handicapés: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
51. M. Dosso Charles Radel Durando Prétendument Secrétaire d’Etat chargé des Victimes de Guerre: Obstruction au processus de paix et de réconciliation et refus du résultat de l’élection présidentielle par la participation au gouvernement illégitime de M. Laurent Gbagbo
52. M. Timothée Ahoua N’Guetta Né le 25 avril 1931 à Aboisso Numéro de passeport: PD-AE/084FK10 (date d’expiration 20 octobre 2013) Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
53. M. Jacques André Daligou Monoko Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
54. M. Bruno Walé Ekpo Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
55. M. Félix Tano Kouakou Né le 12 mars 1959 à Ouelle Numéro de passeport: PD-AE/091FD05 (date d’expiration 13 mai 2010) Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
56. Mme Hortense Kouassi Angoran Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
57. Mme Joséphine Suzanne Touré Née le 28 février 1972 à Abidjan Numéro de passeports: PD-AE/032GL12 (date d’expiration 7 décembre 2012); 08AA62264 (date d’expiration 6 avril 2014) Membre du Conseil constitutionnel: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation, refus du résultat de l’élection présidentielle; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
58. M. Konaté Navigué Né le 4 mars 1974 à Tindara Numéro de passeport: PD-AE/076FE06 (date d’expiration 5 juin 2010) Président des jeunes du FPI (Front Populaire ivoirien): Incitation publique à la haine et à la violence.
59. M. Patrice Baï Conseiller sécurité de l’ancien Président Gbagbo: Coordonne des actions d’intimidation des opposants; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
60. M. Marcel Gossio Né le 18 février 1951 à Adjamé Numéro de passeport: 08AA14345 (date d’expiration 6 octobre 2013) Directeur Général du Port Autonome d’Abidjan: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
61. M. Alphonse Mangly (alias Mangley) Né le 1 er janvier 1958 à Danané Numéro de passeports: 04LE57580 (date d’expiration 16 juin 2011); PS-AE/077HK08 (date d’expiration 3 août 2012); PD-AE/065GK11 (date d’expiration 15 novembre 2012) PD-AE/065GK11 (date d’expiration 15 novembre 2012) Directeur Général des Douanes: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
62. M. Marc Gnatoa Chef du FSCO (Front de sécurisation du Centre-Ouest): A participé à des actions de répression. Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par le non désarmement et le refus de se placer sous l’autorité du
Président démocratiquement élu.
63. M. Moussa Touré Zéguen Né le 9 septembre 1944 Ancien passeport: AE/46CR05 Secrétaire général des GPP (Groupement des Patriotes pour la Paix): Responsable de milice. A participé aux répressions à l’issue du second tour de l’élection présidentielle. Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par le non désarmement et le refus de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
64. Mme Bro Grébé Geneviève née Yobou Né le 13 mars 1953 à Grand Alepé Numéro de passeport: PD-AE/072ER06 (date d’expiration 6 juin 2012) Présidente des Femmes patriotiques de Côte d’Ivoire: Obstruction au processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence.
65. Mme Lorougnon Souhonon Marie Odette née Gnabri Secrétaire nationale des femmes du FPI (Front Populaire Ivoirien): Obstruction au processus de paix et de récon­ciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence.
66. M. Felix Nanihio Secrétaire Général CNCA (Conseil National de la Communication Audio Visuel): Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010; personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
67. M. Stéphane Kipré Directeur de publication du journal Le Quotidien d’Abidjan: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.
68. M. Lahoua Souanga Etienne (alias César Etou) Directeur de publication et Rédacteur en chef du journal Notre Voie: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.
69. M. Jean Baptiste Akrou Né le 1 er janvier 1956 à Yamoussoukro Numéro de passeport: 08AA15000 (date d’expiration 5 octobre 2013) Directeur général du journal Fraternité Matin: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence et par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.
70. Général de Corps d’Armée Philippe Mangou Chef d’Etat Major des Armées: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
71. Général Affro (gendarmerie) Adjoint au Commandement Supérieur de Gendarmerie: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
72. M. Ottro Laurent Zirignon Né le 1 er janvier 1943 à Gagnoa Numéro de passeports: 08AB47683 (date d’expiration 26 janvier 2015); PD-AE/062FR06 (date d’expiration 1 er juin 2011); 97LB96734 Président du Conseil d’Administration de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR): Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
73. M. Kassoum Fadika Né le 7 juin 1962 à Man Numéro de passeport: 08AA57836 (date d’expiration 1 er avril 2014) Directeur de PETROCI: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
74. Mme Djédjé Mama Ohoua Simone Née le 1 er janvier 1957 à Ziale­grehoa ou à Gagnoa Numéro de passeport: 08AA23624 (date d’expiration 22 octobre 2013); PD-AE/006FR05 Directeur Général du Trésor: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
75. M. Kessé Feh Lambert Né le 22 novembre 1948 à Gbonne Numéro de passeport: PD-AE/047FP03 (date d’expiration 26 mars 2011) Directeur Général des Impôts: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
76. M. Aubert Zohoré Conseiller spécial de M. Gbagbo pour les questions économiques: Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
77. M. Thierry Legré Membre de la mouvance de la jeunesse patriotique: Obstruction au processus de paix et de réconciliation par l’incitation publique à la haine et à la violence.
78. Général de Corps d’Armée Kassaraté Edouard Tiapé Commandant supérieur de la Gendarmerie: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement
élu.
79. Colonel major Babri Gohourou Hilaire Porte-parole des Forces de Sécurité de Côte d’Ivoire: Obstruction aux processus de paix et de réconciliation; incitation publique à la haine et à la violence; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
80. Commissaire Divisionnaire Yoro Claude Directeur des Unités d’Intervention de la Police Nationale: Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
81. Commissaire principal Loba Gnango Emmanuel Patrick Commandant de la Brigade Anti-émeute (BAE): Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
82. Capitaine Guei Badia Base navale – Marine Nationale: Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
83. Lieutenant Ourigou Bawa Base navale – Marine Nationale: Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
84. Commissaire Principal Joachim Robe Gogo Chef des opérations du Centre de Commandement des Opérations de Sécurité (CECOS): Responsable de violations graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire en Côte d’Ivoire; personnalité militaire refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu.
85. M. Gilbert Anoh N’Guessan Président du Comité de Gestion de la Filière Café et Cacao (CGFCC): Personnalité refusant de se placer sous l’autorité du Président démocratiquement élu; contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent
Gbagbo.
B. Personnes morales, entités et organismes
1. PETROCI (Société Nationale d’Opérations Pétrolières de la Côte d’Ivoire) Abidjan Plateau, Immeuble les Hévéas – 14 boulevard Carde Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
2. SIR (Société Ivoirienne de Raffinage) Abidjan Port Bouët, Route de Vridi – Boulevard de Petit Bassam Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
3. Port Autonome d’Abidjan Abidjan Vridi, Zone portuaire Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
4. Port Autonome de San Pedro San Pedro, Zone portuaire Représentation à Abidjan: Immeuble Ancien Monoprix, face Gare Sud Plateau – 1er Etage côté Rue du Commerce Contribue au financement de l’administrationillégitime de M. Laurent Gbagbo.
5. BNI (Banque Nationale d’Investissement) Abidjan Plateau, Avenue Marchand – Immeuble SCIAM Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
6. BFA (Banque pour le Finan­cement de l’Agriculture) Abidjan Plateau, Rue Lecoeur – Immeuble Alliance B, 2ème – 4ème étage Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
7. Versus Bank Abidjan Plateau, Avenue Botreau Roussel – Immeuble CRRAE UMOA, derrière la BCEAO, face à la rue des Banques Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
8. CGFCC (Comité de Gestion de la Filière Café et Cacao) Abidjan Plateau – Immeuble CAISTAB, 23ème étage Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
9. APROCANCI (l’Association des Producteurs de Caoutchouc Naturel de Côte d’Ivoire) Cocody II Plateau Boulevard Latrille – Sicogi, bloc A Bâtiment D 1er étage Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
10. SOGEPE (Société de gestion du patrimoine de l’électricité) Abidjan Plateau, Place de la République – Immeuble EECI, 15ème étage Contribue au financement de l’administration illégitime de M. Laurent Gbagbo.
11. RTI (Radiodiffusion Télévision ivoirienne) Cocody Boulevard des Martyrs, 08 – BP 883 – Abidjan 08 – Côte d’Ivoire Incitation publique à la haine et à la violence par la participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection présidentielle de 2010.»

vendredi 7 janvier 2011

Election en Côte d'ivoire: massacres programmé à Abidjan

Des hommes de l’ombre, membres d’unités spéciales d’infiltration et d’exécution pour le compte de la France ont mis pied en Côte d’Ivoire. Ils s’activent pour la mise à exécution de l’opération baptisée « pour l’honneur » ou encore «code d’honneur ». Tout sur le dernier Baroud d’honneur de la France en Côte d’Ivoire…Confidences de français vivant en Côte d’Ivoire sur l’attaque imminente que préparent les dirigeants de leur pays d’origine, afin de mettre fin au régime de Laurent Gbagbo.
   Cirrus sur Abidjan! Des langues se délient au sein de la communauté française vivant à Abidjan. Depuis quelques jours, des Français témoins de ce qui se prépare contre le pouvoir et même contre la personne de Laurent Gbagbo, actuel Chef d’Etat ivoirien, n’ont cessé d’attirer l’attention des autorités en place. Ils ont alors décidé de se confier, « afin que soit mis au grand jour » l’opération expéditive en préparation en Côte d’Ivoire et que le peuple ivoirien en soit informé», avouent-ils, lors des échanges avec eux

Les révélations et confidences de français vivant à Abidjan

 Les témoignages ont été recueillis quelque part à Abidjan, capitale économique ivoirienne et ont été livrés par des Français, vivant en Côte d’Ivoire depuis des années. Ils y ont fait fortune. Ils ont décidé de se confier. « Nous avons décidé d’alerter les autorités ivoiriennes et le monde entier sur ce qui se trame dans l’ombre sur le compte du peuple ivoirien ».
 Pour ces ressortissants français, la France est sur le point de mettre à exécution son plan savamment préparé, depuis le premier tour de l’élection présidentielle. Un plan visant d’une part à exécuter des personnes du sillage du chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et d’autre part, à déclencher une situation de chaos en vue d’extrader celui-ci vers une destination inconnue. Mais ces français, compatriotes de Nicolas Sarkozy, président de la République française s’opposent à un tel projet
  Au nombre de quatre ce jour-là, l’air grave et refusant pour la circonstance tout appel (car ils ont fermé leurs téléphones portables) ces ressortissants français très au fait du « coup spectaculaire », imminent ont confié avoir alerté le pouvoir Laurent Gbagbo, sur la nature du commando présent à Abidjan. «Ils sont dans nos murs. Des unités spéciales de la terreur sont à Abidjan. Le temps presse. Si rien n’est fait, dans les jours qui suivent, la Côte d’Ivoire sera un champ de bataille», laissent-ils attendre. « Nous sommes autant menacés que les Ivoiriens. Il faut réagir vite », estiment-ils avant de livrer quelques indications sur les tueurs en embuscade.
  « C’est depuis la fin du second tour de la présidentielle en novembre 2010 que nous ne manquons, et cela chaque jour, de dévisager des éléments de plusieurs unités des forces Toujours selon ces français, un avion américain, ‘’Apach Hawack’’, un bombardier serait depuis plusieurs jours positionné au-dessus de la Côte d’Ivoire. Avec pour mission de localiser les positions des soldats ivoiriens ou des manifestants qui iraient contre des intérêts français.
« Lors de l’attaque, il projettera des bombes en papier comme cela s’est passé au Kossovo, dans les Balkans. Grâce aux marquages par des transpondeurs et compteurs que les éléments des forces spéciales continuent de poser à travers la ville d’Abidjan. Ces bombes provoquent une onde de choc dans un cercle de 2 kilomètres qui fait tomber tout humain dans un étourdissement qui dure au moins cinq minutes. Mais, pour que la victime retrouve toute sa lucidité, il lui faudra au moins trois à quatre jours », révèlent-ils
 Au sortir de ce tourbillon chaotique, poursuivent ces français, « avec une attaque rapide prévue, ces forces spéciales envoyées par Sarkozy auront eu le temps de se saisir du Président Laurent Gbagbo pour le conduire hors de la Côte d’Ivoire. Nos sources au sein de ces forces nous rapportent que la destination prévue pour accueillir le chef de l’Etat Laurent Gbagbo est une île entre la Floride aux Etats unis d’Amérique et Bermudes pour accueillir la famille du Président. Pour un exil d’oré…. ». Ce qui pourrait certainement expliquer l’information récurrente de demande d’exile du Président Laurent Gbagbo auprès du Président américain Barack Obama.

«Une liste de 18 personnes à exécuter…»

 « Dans leur plan diabolique, il y a une liste de 18 personnes à éliminer dont 5 généraux de l’armée ivoirienne. Il n’est point question d’éliminer physiquement le Président Laurent Gbagbo. Mais, le contraindre à l’exil. Il s’agit plutôt, pour les tueurs de Nicolas Sarkozy, d’éliminer en priorité, Charles Blé Goudé. C’est lui que l’Elysée redoute le plus en Côte d’Ivoire. 
Il est très populaire et charismatique. Il est perçu par Paris comme celui qui est capable de mettre à mal les actions de terrain des forces en présence. Ceci avec des appels aux soulèvements populaires ». Pour ces français, auteurs de cette attaque en vue, il n’est point question d’échec. « Toutes les chancelleries internationales savent ce qui se prépare. Et elles suivent attentivement la préparation de l’opération », confient-ils
 «Mais nous refusons que cela se passe ainsi. Aujourd’hui tous les français qui ont fait des déclarations pour soutenir la légalité constitutionnelle en Côte d’Ivoire en reconnaissant l’élection de Laurent Gbagbo sont menacés. Nous nous sentons frères des Ivoiriens », soulignent nos informateurs avant de noter un autre volet spirituel du complot. « Nous savons que ce qui se passe en Côte d’Ivoire est une histoire de confrérie.
La Rose Croix, la Franc maçonnerie, le Feu Ardent, le 5è Œil, Couleur pourpre, dont sont membres la plupart des membres de la hiérarchie militaire. Ce sont elles qui veulent décider de ceux qui doivent diriger ici en faisant croire au peuple qu’il est libre de se choisir un président ».

« Paris nous traite de rebelles »

 Pour ces confidents français, les USA soutiennent Sarkozy parce qu’il leur a fait croire que Laurent Gbagbo a organisé la confiscation du pouvoir, grâce aux preuves qu’auraient fournies les services secrets français avec le soutien de certains services secrets étrangers en Côte d’Ivoire. « C’est pourquoi les Usa soutiennent Alassane Ouattara. Aujourd’hui lesspéciales membres de commandos des missions et autres expéditions, à Abidjan », lancent-ils d’emblée. Et de poursuivre : « Au sein de l’armée française, il existe des sections pour des opérations précises et urgentes.
Ce sont des éléments de ces forces spéciales que nous avons identifiés au sein des populations, ici à Abidjan. Ce qui veut dire qu’il y a danger », indiquent ces français qui soulignent être des Ivoiriens dans l’âme
 « Nous avons fouiné et découvert qu’il y a actuellement trois sections du Centre des Opérations Spéciales, le COS. C’est une force de massacre. Ses éléments ne font pas de renseignements, ils tuent. C’est le COS qui a fait le sale boulot en Algérie. Ce sont des grenadiers voltigeurs. C’est une force spécialisée dans les combats urbains. Elles sont composées de 33 éléments par sections des six groupes parlant toutes les ethnies de Côte d’Ivoire. Nous tenons à faire remarquer que ce sont des éléments spécialisés dans l’infiltration, l’extraction et l’élimination. Nous vous confions que la présence du COS à Abidjan est inquiétante et représente une réelle menace pour les populations. Parce que le COS n’est pas une force conventionnelle », insistent-ils
 « Cette unité spéciale, une idée de De Gaule est très active aujourd’hui. Car il s’agit pour ceux qui la composent de mourir pour le drapeau. Ils ont pour particularité d’apprendre et de parler plusieurs langues. Ceux qui sont actuellement en Côte d’Ivoire parlent parfaitement les ethnies ivoiriennes. Ils sont fondus au sein des populations et vivent actuellement avec elles. Ils se font passer pour des pêcheurs, marins ou des maçons et vivent ou marchent en double. Ils sont pour la plupart des noirs. Plusieurs d’entre eux qui étaient en Irak ou en Afghanistan ont été sélectionnés pour la mission en Côte d’Ivoire ».
 Dans la phase finale de l’exécution de la déstabilisation de la Côte d’Ivoire, confient-ils, le COS sera appuyé par plusieurs autres unités des forces spéciales françaises qui sont trempées dans la chute de plusieurs régimes que Paris ne voyait pas d’un bon oeil: «Il y a actuellement des éléments du 3è Régiment Parachutiste d’Infanterie Marine, le RPIM. Des éléments du 3è Régiment Etranger d’Infanterie, le REI basé en Guyane, ils ont leur quartier à Dakar. Il y a également ici, à Abidjan, le 6è Régiment d’Etranger du Génie, le REG. Ses éléments sont spécialisés dans la destruction et la reconstruction ; ils sont basés à Rouen en France »>

«Assassinats de français programmés… »

 La Côte d’Ivoire a été déclarée zone 3 : « C’est-à-dire que ce pays a été déclaré zone en attente d’attaque. Deux croisières et des porte-avions sont en route pour la Côte d’Ivoire. Depuis une semaine nos parents présents au sein des forces spéciales nous recommandent de quitter la Côte d’Ivoire pour le Ghana », indiquent ces français et de poursuivre : «Toutes ces forces spéciales ont décidé de procéder par des intimidations. Puis pousseront à des embuscades aux forces onusiennes, ce qu’ils ont déjà entrepris avec des provocations des casques bleus. C’est déjà constaté dans les différentes villes. Il faudra être très vigilants… 
Ils veulent commettre des assassinats contre des ressortissants français pour faire porter le chapeau aux forces de défense ivoiriennes. Or, tuer un français c’est déclarer la guerre à la France. Le COS utilise actuellement les renseignements de la Licorne qui a partagé Abidjan en 10 zones de combats et de rapatriement des ressortissants français »
.
 ressortissants des pays occidentaux ont progressivement quitté à plus de 90 % la Côte d’Ivoire sur le nombre qu’ils ont été par le passé. Il ne reste en majorité que près de 16.800 français. Et l’Elysée nous traite de rebelles. A l’heure où nous vous parlons, nous n’avons plus accès aux services de paieries.
L’ambassade a bloqué nos comptes. Les autorités françaises veulent que nous rentrions en France. Or nous refusons de quitter la Côte d’Ivoire. Nous avons reconstruit nos vies passés les évènements de novembre 2004. Sarkozy veut que nous rentrions pour nous reverser l’équivalent de 300.000franc Cfa. Pourtant, nous gagnons mieux nos vies ici en Côte d’Ivoire parce que nos affaires ont repris depuis belles lurettes. 
Il faut que la police diplomatique s’active sur la trace des éléments du Centre des Opérations Spéciales. Si elle parvient à mettre la main sur un seul de ses éléments la Côte d’Ivoire évitera les massacres », ont invité ces Français avant de prendre congé de nous. Tout en indiquant être prêts à œuvrer à mettre en état de nuire les forces françaises présentes sur les bords de la lagune Ebrié

DANSE DES CHASSEURS de TINDARA