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lundi 17 mai 2010

Concert : Alpha Blondy à Bouaké pour booster le processus de paix

Ambassadeur de la paix de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), Alpha Blondy, la méga star du reggae ivoirien, a décidé de jouer pleinement son rôle dans le processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire. Mieux, il soutient l’Accord politique de Ouagadougou (l’Apo), qui a permis au pays de connaître une relative accalmie depuis 2007. Pour le démontrer, il donnera, le 12 juin, un concert gratuit dénommé «Peace and unity concert» au stade municipal de Bouaké. Ce spectacle arrive près d’un mois après sa conférence de presse au Café de Versailles à Angré. Ce jour-là, l’artiste avait dit qu’il ne prendrait plus position pour un camp. Le concert de la capitale du centre, sera l’occasion pour l’icône du reggae de parler à ses «bramôgô» (ses jeunes frères) de Bouaké de la nécessité d’aller à la paix.

«Il est le prolongement des actions que le reggaeman compte mener pour aider les Ivoiriens à se parler et à éviter les affrontements verbaux et physiques. C’est d’ailleurs pour cela qu’il offre ce spectacle à ses fans de Bouaké», indique Kouassi, son manager Afrique. Et d’ajouter : «En sa qualité d’ambassadeur de la paix, il mettra tout en œuvre pour que le pays retrouve son lustre d’antan.» La méga star promet de revisiter ses meilleurs titres avec son orchestre, Le solar system, au grand complet.

Le spectacle est placé sous le haut patronage du Premier ministre, Guillaume Soro.

mercredi 24 février 2010

Nouveau gouvernement : L`argent et la politique gâtent les négociations

Le nouveau gouvernement de réconciliation a enfin vu le jour hier. Sans la participation du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Voici pourquoi les partis houphouétistes se sont reniés après avoir pris des engagements devant le président Blaise Compaoré.
Le communiqué du président Compaoré daté du 22 février 2010 est bien clair : « Le Facilitateur et les parties ivoiriennes sont convenus de la mise en place le 23 février 2010 d`un Gouvernement qui sera composé de représentants de tous les partis signataires des Accords de Linas Marcoussis. »
Donc, les présidents du Rassemblement des républicains (Rdr) et du Parti démocratique de Côte d`Ivoire (Pdci) avaient bien donné leur accord pour entrer dans le gouvernement du 23 février. A l`arrivée, ils se sont visiblement rétractés. Pourquoi Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié ont-ils dit « oui » à Blaise Compaoré et n`ont pas respecté leur engagement le lendemain ?En fait, dès la fin des négociations et après l`annonce de l`accord obtenu à l`arrachée, les deux leaders de partis du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) ont commencé à grincer des dents. Ils auraient voulu que la rencontre leur aménage une marge de manœuvre face à leurs militants qui ont battu le pavé pendant des jours avec des morts à la clé. Ainsi, ils estimaient qu`un message d`apaisement du président de la République leur aurait certainement permis de lever les mots d`ordre qu`ils avaient lancés. Mais, Laurent Gbagbo est resté silencieux, laissant le soin au facilitateur et au Premier ministre d`annoncer la fin de la crise. Ensuite, ils voulaient d`abord avoir des détails sur les modalités de leur entrée au gouvernement avant l`annonce du Premier ministre. Et, comme le montrera la suite des évènements, le sujet leur tenait particulièrement à cœur, car il s`agit de savoir combien de postes ministériels aura chaque parti, quels sont les postes, quels sont les personnes qui peuvent y être affectées. Certains auraient même voulu que le facilitateur mette tout cela au point avant de regagner Ouagadougou. Impossible, selon un diplomate. « Le Facilitateur a arraché un accord sur les deux points à problème : l`entrée au gouvernement et l`ouverture de négociations sur la Cei. Pour des questions de souveraineté nationale, il ne pouvait pas s`ingérer dans la composition du gouvernement. Ce n`est pas à lui de distribuer des postes », explique-t-il.
Dès le départ de Blaise Compaoré, un ballet infernal a commencé pour le Premier ministre. Guillaume Soro s`est très vite heurté à l`intransigeance du Pdci et du Rdr qui voulaient maintenir en place l`essentiel des ministres sortants, étant entendu que chaque parti voyait son quota passer de cinq à quatre ministres.
Pourtant, Guillaume Soro voulait composer une équipe plus soudée autour des objectifs du gouvernement et moins tributaire des désidératas des partis politiques. Ce qui nécessitait le renouvellement d`une bonne partie de l`équipe. Sur ce point, il avait obtenu l`accord du président de la République.
Toute la soirée de lundi et la journée de mardi, Guillaume Soro a tenté de convaincre ses interlocuteurs.
Camp présidentiel
Laurent Gbagbo était prêt à lâcher quatre de ses anciens ministres. Il voulait garder Paul Antoine Bohoun Bouabré, Désiré Tagro et Amani N`Guessan Michel. Le premier est l`homme du Front populaire ivoirien, le second le gestionnaire du dossier Apo et le troisième l`homme des questions militaires. Pour son quatrième poste, Laurent Gbagbo hésitait entre Christine Adjobi et Sébastien Dano Djédjé. Il faut noter que les choix du candidat Gbagbo ne sont pas sans arrière pensée politique.

Michel Amani N`Guessan est le seul vrai poids lourd du candidat de La Majorité présidentielle pour le grand centre où il faudra déstabiliser le Pdci. Il est le directeur régional de campagne de Gbagbo pour la Vallée du Bandama. Bohoun Bouabré et Tagro sont incontournables au Centre-Ouest.
Forces nouvelles
Pour respecter la promesse de changement faite aux Ivoiriens, Guillaume Soro voulait donner l`exemple. Le seul ministre que le leader des Forces nouvelles était sûr de reconduire est le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané. Ce qui augurait d`un renouvellement sans précédent.
RDR
Du côté de la rue Lepic, le changement n`était pas à l`ordre du jour. Amadou Gon Coulibaly, Hamed Bakayoko, Ibrahim Cissé Bacongo, Marcel Amon Tanoh et Jeanne Peuhmond étaient en lice. Laurent Gbagbo a rejeté en bloc les quatre premiers. Il était peut-être prêt à s`accommoder de l`ancienne ministre de la Famille et des affaires sociales et, dans une certaine mesure, de Marcel Amon Tanoh.
Pas question de bouger pour le Rdr. Car, les ministres sortants refusés par Gbagbo sont justement ceux sur qui repose une bonne partie du financement et de l`animation de la campagne. Amadou Gon Coulibaly, ancien ministre de l`Agriculture, est le directeur national de campagne du candidat Alassane Ouattara. Ibrahim Cissé Bacongo, ancien ministre de l`Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, est le directeur national de campagne d`Abidjan Sud. Hamed Bakayoko, ex-ministre des Ntic, est le directeur central de campagne chargé de la jeunesse.
Marcel Amon Tanoh, ancien ministre de la Construction, est le directeur de campagne pour le Sud-Comoé et le District d`Abidjan (60% de l`électorat).
Comment remplacer de tels hommes au gouvernement sans mettre en péril l`échafaudage de la campagne présidentielle ?
PDCI
L`ancien parti unique veut faire le moins de vague possible.
D`où la proposition de Dr Allah Kouadio Remi, Patrick Achi, Ama Tehoua Marie, Dagobert Banzio et Youssouf Bakayoko.
Là aussi, refus strict de Laurent Gbagbo qui accepterait tout au plus Youssouf Bakayoko. Alors que du côté du Pdci, l`on tient justement peu à l`ancien ministre des Affaires étrangères que l`on soupçonne fortement d`accointances trop poussées avec le camp présidentiel. Certains cadres du parti n`hésitent même pas à suggérer au chef de l`Etat de le prendre en compte dans son propre quota. C`est dire ! Le Pdci ne lâchera pas ses ministres. Et pour cause ! Patrick Achi est jugé le seul capable de mener la vie dure au Fpi en pays akyé. Il y jouit d`une popularité certaine acquise au fil des années passées au ministère des Infrastructures économiques.
A l`Ouest, Dagobert Banzio est bien parti pour freiner les envies du Fpi. Au Centre-Est, Ama Tehoua Marie doit affronter le président du Fpi, Pascal Affi N`Guessan. Enfin, Rémi Allah est chargé de contrer les offensives du Fpi au Centre, en pays baoulé.
Ces considérations politico-financières ont donc été le grain de sable qui a retardé la composition du gouvernement.
Malgré un dernier forcing, Guillaume Soro n`a pu surmonter ces écueils. Hier, à quelques heures de l`annonce de son gouvernement, il a encore vu le président de la République pour lui demander de requalifier au moins certains des noms qu`il avait rejetés.
Mais, Laurent Gbagbo a estimé qu`il avait déjà consenti beaucoup de sacrifices en lâchant quatre de ses ministres, et non les moindres, sur huit. En libérant par exemple le ministre des Mines et de l`énergie, Emmanuel Léon Monnet, il voulait donner un gage de changement. Mais, il se fragilisait aussi dans le pays akyé.
Il ne comprenait donc pas pourquoi l`opposition refusait de se séparer de certains ministres devenus de véritables barons. Il devenait alors évident que l`on irait vers la formation partielle du gouvernement en attendant le retour du Rhdp à de meilleurs sentiments après les négociations qui doivent se poursuivre.





mardi 23 février 2010

Côte d`Ivoire : gouvernement complet d`ici jeudi, avec l`opposition (Soro)


Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a affirmé mardi qu`il comptait compléter d`ici jeudi le nouveau gouvernement, indiquant que les 11 postes restant à pourvoir sur les 28 annoncés devaient être attribués à l`opposition.
En début de soirée, un cabinet de 28 membres avait été annoncé par le secrétaire général de la présidence Amédée-Couassi Blé (bien: Amédée-Couassi Blé).
Outre M. Soro, chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), seize autres titulaires ont été nommés, tandis que onze ministères restent à pourvoir.
"Il fallait qu`on sorte un gouvernement aujourd`hui puisque nous l`avions promis à la Côte d`Ivoire", a déclaré le Premier ministre devant la presse. "Les premiers à être nommés l`ont été, je vais continuer à discuter avec les forces politiques en vue de compléter le gouvernement d`ici avant la première tenue du conseil des ministres qui aura lieu jeudi", a-t-il ajouté.
"Nous nous sommes mis d`accord sur les portefeuilles à donner aux différents partis", a-t-il dit.
L`opposition doit avoir au total onze postes: quatre pour le Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI), quatre pour le Rassemblement des républicains (RDR), un pour l`Union pour la démocratie et la paix en Côte d`Ivoire (UDPCI), un pour le Mouvement des forces d`avenir (MFA) et un pour le Parti ivoirien des travailleurs (PIT).
Ces postes sont ceux qui n`ont pas été encore pourvus.
Dans le gouvernement précédent de 33 membres nommé en 2007 après l`accord de paix de Ouagadougou, le PDCI et le RDR avaient chacun cinq postes, l`UDPCI, le MFA et le PIT déjà un chacun.
Les 17 ministères déjà attribués sont pour la plupart répartis entre le Front populaire ivoirien (FPI, parti du président Laurent Gbagbo), qui en compte neuf contre 10 auparavant, et l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) du Premier ministre. Les FN comptent six représentants, dont M. Soro, contre 8 auparavant.
Depuis la dissolution par le président Gbagbo du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (CEI) le 12 février, qui a plongé le pays dans une crise émaillée de violences parfois meurtrières, l`opposition avait conditionné sa participation au nouveau cabinet au "rétablissement" de la CEI.
Celle-ci doit organiser jeudi, jour prévu pour le conseil des ministres, l`élection de son nouveau président et de ses quatre nouveaux vice-présidents.
"La Côte d`Ivoire traverse des moments difficiles, je demande à tous de garder le calme et la sérénité", a lancé le chef du gouvernement, souhaitant que "la paix revienne" dans ce pays coupé en deux depuis le coup d`Etat manqué de 2002.
Le gouvernement aura pour tâche de conduire le pays "fin avril-début mai" à une élection présidentielle, selon le calendrier annoncé par le médiateur, le président burkinabè Blaise Compaoré.
Sans cesse reporté depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005, ce scrutin est censé clore la crise de 2002.

jeudi 18 février 2010

EORMATION DU GOUVERNEMENT / SORO OBTIENT UN RALLONGE DE 48 H


Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a déclaré jeudi avoir obtenu du président Laurent Gbagbo "48 heures supplémentaires" pour former le nouveau gouvernement, attendu depuis la dissolution vendredi du précédent cabinet par M. Gbagbo.

"Le chef de l'Etat a montré sa bonne volonté et a bien voulu accorder les
48 heures supplémentaires (demandées) pour que le Premier ministre puisse finaliser le gouvernement", a affirmé M. Soro à la presse, après une séance de travail avec M. Gbagbo dans la capitale politique Yamoussoukro.
"Nous ferons tout ce qu'il faut pour que personne ne soit laissé de côté, pour que la Côte d'Ivoire renoue avec la tranquillité", a-t-il lancé, insistant sur son objectif d'"un compromis, un consensus dans la mise en place du gouvernement".
"Nous allons continuer les discussions et je demande aux Ivoiriens de garder non seulement la sérénité mais l'espoir", a ajouté M. Soro.
La formation du cabinet achoppe sur la question de la participation de l'opposition, qui a conditionné son retour à un "rétablissement" de la Commission électorale indépendante (CEI) également dissoute.
Des manifestations d'opposants, parfois émaillées de violences, se sont poursuivies jeudi dans plusieurs villes du pays.



http://news.abidjan.net/photos/photo.asp?cat=eco&id=15026

mercredi 17 février 2010



           Le camp du président ivoirien Laurent Gbagbo a condamné mercredi des "actes de sabotage" de l'opposition, après les manifestations organisées contre la dissolution par le chef de l'Etat du gouvernement et de la commission électorale. Depuis l'annonce de ces dissolutions vendredi, l'opposition "n'a cessé de poser des actes de nature à fragiliser l'équilibre de la nation, à menacer la paix sociale, (...) à mettre le pays à feu et à sang et à défier l'autorité de l'Etat", a affirmé la direction de campagne de M. Gbagbo dans une déclaration lue à Abidjan. "Répondant à ces appels incessants à la désobéissance civile, au soulèvement et à la guerre civile, les militants de ce mouvement politique se livrent à travers le pays à des actes de sabotage", a-t-elle accusé, en appelant au "calme". A Abidjan et dans plusieurs localités du pays, de jeunes opposants ont
protesté ces derniers jours, parfois violemment, contre la double dissolution. A Dimbokro (centre), des manifestants ont endommagé les locaux de la coalition pro-Gbagbo, a affirmé à l'AFP Paul David N'Zi, son directeur départemental de campagne. Réunie au sein du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), l'opposition a appelé ce week-end à "s'opposer par tout moyen" au pouvoir. Ces manifestations surviennent alors que le Premier ministre et chef de l'ex-rébellion Guillaume Soro poursuit de difficiles tractations pour former
un nouveau cabinet. Le RHDP a conditionné son retour au gouvernement au "rétablissement" de la Commission électorale indépendante (CEI), dissoute après plus d'un mois de crise en son sein.

mardi 16 février 2010

Côte d`Ivoire: Compaoré plaide auprès de Gbagbo pour le respect des accords


          - Le président burkinabè Blaise Compaoré, "facilitateur" dans la crise ivoirienne, a plaidé dans une lettre à son homologue ivoirien Laurent Gbagbo pour le respect des accords de paix après la dissolution du gouvernement, a-t-on appris mardi auprès de son entourage.

Dans ce courrier remis lundi, M. Compaoré a "suggéré" à M. Gbagbo de "respecter l`Accord politique de Ouagadougou" signé en 2007 sous son égide, ainsi que les accords antérieurs, a déclaré à l`AFP cette source sous couvert d`anonymat.

Il a aussi "demandé à ce que le nouveau gouvernement qui sera formé ait une feuille de route claire pour organiser les élections dans les plus brefs délais", a-t-on indiqué.

Blaise Compaoré a par ailleurs souhaité "qu`on fasse tout pour préserver les acquis du processus électoral", notamment la liste électorale provisoire.

S`agissant de la liste de quelque 1,033 million de "cas litigieux", c`est-à-dire les personnes inscrites dont la nationalité n`a pu encore être prouvée, "il a souhaité qu`une solution rapide soit trouvée", a ajouté la même source.

Le président Gbagbo a dissous vendredi le gouvernement et la Commission électorale indépendante (CEI), après plus d`un mois de crise à la CEI autour de la liste des votants.

Il a reconduit le chef de l`ex-rébellion Guillaume Soro au poste de Premier ministre qu`il occupe depuis l`accord de 2007. Selon son entourage, M. Soro devrait annoncer "avant la fin de la semaine" la formation du nouveau cabinet.

VERS LA FORMATION D'UN NOUVEAU GOUVERNEMENT CE SOIR

- La composition du nouveau gouvernement ivoirien sera officiellement annoncée ce mardi dans la capitale politique Yamoussoukro, quatre jours après la dissolution du cabinet et de la commission électorale par le chef de l`Etat Laurent Gbagbo, a indiqué la présidence.

"Le nouveau gouvernement sera présenté aujourd`hui à 16H00 (GMT et locales) à Yamoussoukro", où se trouve actuellement M. Gbagbo, a déclaré à l`AFP le service communication de la présidence.

Premier ministre à la suite de l`accord de paix de Ouagadougou signé en 2007, le chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro a été reconduit dans ses fonctions après la double dissolution prononcée après plus d`un mois de crise à la Commission électorale indépendante (CEI).

M. Soro, qui avait entamé lundi des consultations avec les partis politiques, rencontrait mardi matin la direction des FN dans leur fief de Bouaké (centre).

Le nouveau gouvernement sera chargé de conduire le pays à un scrutin présidentiel reporté depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005 et censé clore la crise née du coup d`Etat manqué de 2002, qui a coupé le pays en un nord rebelle et un sud loyaliste.

L`opposition a conditionné son retour au gouvernement à un "rétablissement"
de la CEI dissoute

 Mais cela risque de ne pas attendu quand on sait ce qui a provoqué la disolution de la CEI .

dimanche 14 février 2010

ONSULTATION EN VU DE LA FORMATION DU NOUVEAU GOUVERNEMENT

       Comme annoncé par le Président de la republique, le Premier Ministre de Côte d'ivoire GUILLAUME SORO consulte les différents partis politique en vu de la fomation du gouvernement devant conduire au élections .La journée de ce dimanche  a été particulierment chargé pour le prémier ministre qui a rencontré na tour de rôle les diférents leaders du RHDP à savoir Henri Konan Bédié ,le président du PDCI et le président du RDR Alassan Draman Ouattara. Aprèe eux le lundi 14 sera entierement reservé au représentant du Sécretaire Géneral de l'ONU, puis au FPI , enfin au PIT dans le courant de la journée. Comme nous le voyons le Preemier Ministre s'active pour respecter le délais que le Président Laurent Gbagbo  lui a donné ; c'est à dire un gouvernement ce lundi.
 Mais selon son entourage le Gouvernement ne peut être disponible qu'en fin de semaine.

DANSE DES CHASSEURS de TINDARA