mardi 6 août 2013

GBAGBO VERS LA SORTIE: La Cour pénale internationale (CPI) contre Laurent Gbagbo

          La Cour pénale internationale (CPI) qui avait affirmé ne pas avoir suffisamment de preuves pour juger
Laurent Gbagbo, semble de plus en plus désorientée face à l’ex-Président ivoirien. La Procureur de l’instance internationale, Fatou Bensouda, a indiqué vendredi qu’elle s’est rendue en Côte d’Ivoire pour chercher des informations sur le dossier du prisonnier de la Haye.

A la Cour pénale internationale, on tente toujours de trouver plus d’éléments pour pouvoir juger Laurent Gbagbo. Un véritable malaise semble s’être installé entre l’instance internationale et l’ex-Président ivoirien, emprisonné à la Haye depuis novembre 2011. Elle ne sait plus sur quel tableau jouer pour que ce dernier réponde des crimes contre l’humanité, durant les violences post-électorales de novembre 2010, dont il est soupçonné.
                           Concernant les escadrons de la mort, le procureur de la CPI a encore brandi cette accusation lors de l'audience de confirmation ou non des charges, qui a été balayé par la défense. En effet, pour une bonne fois pour toute, sachez le, le journal français le monde a été condamné par la justice française pour diffamation à l'égard de Simone Gbagbo. Donc les histoires d'escadrons de la mort, soit les preuves existent ou non, car indéfiniment on ne peut pas continuer à proférer des accusations qui ont déjà été balayées par la justice. Concernant les crimes contre l humanité, de viols, etc... qui vaut au Président Gbagbo d'être à la CPI, comme le rappelle votre article, pour l'instant les juges de la CPI sont dans une impasse face à l'insuffisance des preuves pouvant étayer les accusations du procureure Bensouda. Ainsi une décennie de diabolisation du Président Gbagbo, via des articles de presse (par des organes réputés très sérieux), rapports d'ONG ( HRW en tête) et de l'ONU, sans oublier 2 ans d'instruction, avec les moyens conséquents de la CPI et son fameux "dossier en béton contre Gbagbo", le soutien et la coopération indéfectible de la communauté internationale, voilà, actuellement, concernant les accusations contre le Président Gbagbo, les juges ont dû conclure à l'ajournement du verdict pour insuffisance de preuves. Donc un moment donné, il faut faire preuve d'honnêteté intellectuelle et morale et se poser la seule question qui vaille : mais sur quoi, quelles preuves, se fondaient toutes ces personnes ou institutions respectables pour nous assurer que Gbagbo est un dictateur et qu'il tuait son peuple. Que l'Onu, les ONG (HRW), les organes de presse, le camp Ouattara, apportent à la CPI, ces fameuses preuves de la culpabilité de Gbagbo, sinon, que chacun se respecte un peu, et arrête de donner de la résonnance à des accusations gratuites ou sans fondement. D'ailleurs c'est bien là le problème, car le dossier d'instruction de Bensouda est entièrement basé sur ces fameux articles de presse, d'ONG, de l'ONU que les juges de la CPI ont estimé "preuves insuffisances. Alors lorsqu'on se tourne vers HRW et autres ONG, l'Onu, les medias, qui ont œuvré pour la diabolisation du Président Gbagbo, aucun ne veut apporter les éléments de preuves étayant leurs fameux rapports ou articles contre Gbagbo, aussi on se demande si ces preuves existent ou n'était ce pas uniquement de la propagande. Voilà les foutaises qu'on nous sert dans cette affaire . Donc que chacun se respecte un tout petit peu et se pose enfin les bonnes questions, s'il s'agit vraiment dans ce procès contre le Président Gbagbo, de se préoccuper des victimes. Car depuis 2002, il y eu beaucoup de morts en Côte d'Ivoire, il ne s'agit pas ici de les nier, oh que non, mais pour que Justice soit véritablement rendue aux Victimes, il faut que cette Justice de la CPI soit impartiale et appréhende TOUS les présumés coupables dans un procès honnête et équitable.               
                      Que  Bensouda enquête enfin et arrête sa comédie ! Ok, ce qui a réussi en terme de communication, quand il s'agissait de matraquer la terre entière d'informations fausses, telles Gbagbo est sanguinaire, anti démocratique, etc.. ne peut prosperer dans le cadre d'un procès. Ici on a besoin de sérenité et de sérieux. Si les ONG, medias, camp Ouattara peuvent diffamer gratuitement, dans un procés qui se veut sérieux, on ne peut pas faire l'économie de la PREUVE, base de toute accusation sérieuse.

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